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 L'heure de la mort sonnera. [PV JIM HOLLOWAY]

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2 participants
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Enrick Lawford

Enrick Lawford


Date d'inscription : 30/07/2013
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MessageSujet: L'heure de la mort sonnera. [PV JIM HOLLOWAY]   L'heure de la mort sonnera. [PV JIM HOLLOWAY] EmptyVen 2 Aoû - 19:26

13h24. Enrick était dans son loft depuis la veille. Il n'avait pas été à la chasse à toutes créatures de nuit, puisqu'il désirait prendre des forces avant d'attaquer l'un des plus importants... L'alpha des loups-garous. Jetant un regard à l'horloge de la salle de séjour à plusieurs reprises, il avait remarqué que le temps s'écoulait d'une façon lente et douloureuse. Comme si changer de seconde était la chose la plus pénible au monde.

14h07. De toute façon, il devait se reposer. Ordre de ses plusieurs médecins. Il avait plusieurs blessures sur son corps dût au combat passé et monsieur Marcil, son médecin, lui avait donné obligation de rester au lit pour les quelques jours à venir. Cependant, Enrick n'avait aucunement l'intention de respecter cet ordre, obéissant toujours à ses propres lois.

15h33. Il y a quelques jours de cela, c'était madame Courceau qui était venu se plaindre. Elle était la femme qui s'occupait de ses problèmes de santé dût à l'alcool. Monsieur Marcil était plus spécialisé dans l'extériorité du corps humain plutôt que de son organisme. En consultation, elle lui avait apprit que s'il ne ralentissait pas son rythme de consommation, alors il aurait de grave de conséquence. L'homme avait donc choisi d'écouter cette femme, craignant de ne plus pouvoir combattre pour sa cause. L'alcool finirait par le tuer. Nombreux était ceux et celle qui lui avait dit cela. Alors, ça faisait maintenant deux jours qu'il n'avait rien bu. Mais il avait l'intention de s'y remettre. Après tout, elle n'avait pas dit de tout arrêter, mais seulement de diminuer son nombre de consommation.

16h01. Ce soir, c'était la pleine lune. Son combat risquait d'être difficile, mais il désirait tout de même s'en prendre à cet alpha. Il avait tout préparé. Il se rendrait chez lui et s'imposerait comme le loup s'était imposé chez lui il y a plusieurs années de cela. Et Enrick n'avait pas l'intention de repartir sans avoir finit son travail. Ce soir, il y aurait un mort. Soit cet alpha, soit lui-même. Et évidemment, il tenait beaucoup trop à la vie pour laisser ce Jim le dévorer.

17h49. Depuis le début de la journée, l'homme était assez dans la salle de séjour, réfléchissant, regardant le temps passé. Tout devait être parfait. C'est pourquoi il réfléchissait à toutes les options possibles. Bien évidemment, il préparait aussi les armes de combat. Il avait sur la cuisse droite, un poignard attaché solidement. Bien sûr, celui-ci était caché pour ne pas effrayer quiconque avant de passer à l'acte. Il avait aussi glissé un revolver dans son jean. Il savait que les loups-garous ne pouvaient mourir que par décapitation. Mais il pourrait au moins l'affaiblir un peu avant de se mettre à la tâche. Et puis, avec un arme à feu comme celle-ci, il pourrait l'atteindre de loin. Toutes les chances étaient de son bord. Il savait cependant que le combat risquait de finir en corps à corps, mais il ne craignait pas le loup. Enrick savait se battre et avait l'expérience du métier.

18h36. Pour être encore mieux préparé, il avait fait des recherches sur ce Jim. Étant très riche, rien n'était difficile pour lui et avoir quelques informations sur l'alpha n'était qu'un simple jeu d'enfant. Jim Holloway, 35 ou 36 ans, vivant dans une maison dans le quartier des habitations. Il avait même réussi à dénicher l'adresse de cette dite maison. Il y avait un bois non loin. Il attirait le loup là-bas et la vraie bataille pourrait commencer.

19h15. Respirant calmement, Enrick se leva de son fauteuil et se dirigea vers l'armoire vitrée. Le ferry partirait bientôt en direction de l'île des créatures. Canis Lapidem. Qui avait eu la brillante idée de reliée ces îles?! Peut-être qu'il faudrait aussi s'en prendre aux humains après tout. C'est eux qui avaient permis le meurtre de Vanessa et de ses parents, quelques années plus tôt. Il était désormais seul, par la faute de tout le monde au fond. Il ouvrit une des deux portes de cette armoire et en saisit une bouteille de Whisky. Il en prit une gorgée, puis une autre et une dernière avant de remettre la bouteille en place. Ce n'était pas le moment. Il devait être en plein moyen de toutes ses capacités.

20h28. L'homme se dirigea jusqu'à la salle de bain. Il se regarda un moment dans le miroir. Rien n'avait changé. Toujours ce même regard terne et gris. Son T-Shirt noir les faisait ressortir davantage. Enrick soupira et sorti finalement du loft. Il verrouilla celui-ci avant de monter à bord de sa voiture. Il conduit un bon moment jusqu'à ce qu'il arrive enfin au Ferry. Il gara son véhicule et monta à bord du Ferry.

20h40. Le grand bateau décolla enfin. À ses côtés, il devait bien y avoir des dizaines de loups-garous, mais il s'abstint. Il devait garder ses forces pour ce Jim Holloway. En débarquant sur l'île, mise à part beaucoup de forêt et d'arbre, il n'y avait pas tant de différence. Il n'y avait pas autant d'immeuble que sur Pulp paradise non plus. Il devait paraître normal. Ne pas attirer l'attention sur lui. Tout en marchant calmement, il salua même quelques-unes de ses créatures. Car non, même sous forme humaine, Enrick ne les comptait pas comme des humains. C'était des bêtes. Point.

21h57. Il était arrivé à la maison de celui qui mourrait ce soir.  C'était calme. Les nuages commençaient à dévoiler la lune, entière cette nuit là. Étant souvent des êtres assoiffés de viande, l'homme avait prévu le coup. Il savait aussi que les loups avaient des sens plus développés que l'homme ordinaire. C'est pourquoi, plaqué contre l'un des murs de la maison du loup, il s'entailla légèrement un doigt afin que le sang y coule. L'odeur de la viande allait sans doute l'attirer. Discrètement, il se mit en chemin vers la forêt derrière la maison, laissant quelques goûtes de ce sang encore chaud contre des arbres, des plantes et plus encore.

22h03. Enrick se tenait désormais le dos contre un arbre. Caché de celui qui approcherait. Le fusil bien en main, il écoutait les bruits de la forêt, prêt à se retourner et à tirer dès que l'occasion se présenterait. *Aller approche, sale petit alpha....* Enrick resta bien silencieux, l'oreille tendu. Ce Jim Holloway devait tomber dans le piège que l'homme lui avait tendu. Enrick n'était pas un de ces humains fragiles et apeurés au moindre soucis. Il était un combattant.
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Jim Holloway

Jim Holloway


Date d'inscription : 25/07/2013
Messages : 107

L'heure de la mort sonnera. [PV JIM HOLLOWAY] Empty
MessageSujet: Re: L'heure de la mort sonnera. [PV JIM HOLLOWAY]   L'heure de la mort sonnera. [PV JIM HOLLOWAY] EmptySam 3 Aoû - 17:53

La pleine lune… Une soirée où je me croyais en enfer… Des hurlements, des plaintes, des jappements. Chaque pensées, chaque envies de mes loups résonnaient dans ma tête dans une cacophonie des plus renversante. Heureusement pour moi, je commençais à m'y habituer, la première nuit avait été la pire… Maintenant je savais me couper momentanément de ces liens inextricables. Je savais les faire taire s'il le fallait.
Et là, ce soir, ce chant commençait inlassablement. Toujours teinté de ces mêmes notes de souffrances, d'abandon, de frayeur, d'agonie, de haine, d'envies meurtrières, de pensées bestiales…

Toujours la même… et ma voix ne changeait pas, elle non plus.

De chez moi, relevant ma tête vers cette lune qui me poussait à me changer, je poussai un hurlement long, sinistre pour quiconque ne connaissant ce langage ancestral. Mais il ne s'agissait là en fait qu'une salutation et d'une mise en garde pour quiconque osait sortir de Canis Lapidem en ce soir de pleine lune. L'un des commandements inviolable que son père avait imposé à la création de cette île. Plus pour préserver les humains et l'autre race sanguinaire que par envie d'emprisonner ses propres loups.
Et pourtant, la lune, cette pleine lune ronde et claire, était une prison à elle seule. Elle avait tant de pouvoir sur nous qu'elle nous changeait, nous poussait à devenir plus bestial que l'accoutumée. Ces jeunes loups dont j'avais la protections en étaient ses premières victimes. Et moi, il était en mon devoir d'en être la dernière. D'être le dernier rempart à cette folie contagieuse et sans merci.

D'un jappement, je m'élançai vers la forêt, le bastion de la plupart des loups solitaires ou perdus dans leurs délires meurtriers. La forêt était en ce soir le dernier endroit où aller sans griffes et crocs dehors. Pour ma part, mes yeux orangés d'un voile argenté suffisaient à calmer certains. Parfois je devais grogner en plus. Les loups me reconnaissaient de part ma carrure plus imposante, mais aussi avec ce regard qui étaient le miens, plus animal, plus étrange et attirant.
Mon pelage noir reluisait sous l'éclat lunaire lorsque ce dernier n'était pas renvoyé par les feuilles des arbres. Autour de moi, certains loups tentaient de se battre, je les en dissuadais en les sommant expressément de rentrer chez eux et de s'enfermer pour la nuit s'ils n'étaient pas capable de contrôler cette soif meurtrière.

Je m'éloignais vers le Ferry, guettant sur un rocher les loups trop téméraires qui tentaient de s'y embarquer pour rejoindre Pulp Paradise, un paradis pour n'importe quel loup sanguinaire.
La encore je faisais entendre ma voix forte et rocailleuse. Je grondai, je hurlai. Parfois on me répondait, me provoquait avec rage alors j'étais bien obligé de répondre pour conserver cette place épuisante d'Alpha. C'était une habitude, une obligation de part cette paix que je me devais de protéger…

Et soudain, une odeur de sang, mais pas de l'un de ses semblables. Serais-ce alors un oméga ? Un de ces loups solitaires parfois écumant de rage ? Si tel était le cas, il mourrait probablement suite à ses blessures, car même moi, je ne pouvais y faire grand-chose. Après tout, il avait renié la meute, sa meute…
Je fermai les yeux, humant le fumet de ce sang frais qui semblait s'appesantir de plus en plus. Excitant les loups avoisinant, surtout les plus jeunes qui commençaient à japper tel des gamins devant leur hochet préféré.
C'est alors que je le vis au loin, il ne semblait pas avoir peur, et de toute évidence, soit c'était un loup solitaire qui arrivait à maîtriser sa transformation lors d'une pleine lune. Ce qui était très rare en dehors de l'Alpha et de ceux qui en avaient la volonté…. Soit c'était un étranger, et à la senteur de ce sang, il ne pouvait s'agir d'un vampire. De plusieurs bonds rapides, j'atterris à quelques mètre de lui, l'invitant d'un grondement sinistre à rebrousser chemin. Me levant sur mes jambes arrières, ou devrais-je dire, sur mes deux pattes arrières… Je lui laissais le temps de comprendre sa situation, plusieurs hurlements se faisant pressant derrière lui.
Grognant encore, je mets en garde chacun des loups ayant reniflé cette odeur qui devait leur être trop alléchante pour la propre survie de cet humain inconscient.
Ce qui m'énervait, c'était de ne pas pouvoir parler sous cette forme, et que me transformer en humain pour lui parler me mettrait forcément en danger, de face aux loups qui voudraient me tuer pour prendre ma place, et de part cet humain, qui si ce n'est être suicidaire, devaient être là pour mener une chasse personnelle et purgatoire.

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